Introduction et principes de la médecine moderne

Environ 9,6 millions d’Américains âgés subissent des effets secondaires négatifs de leurs médicaments chaque année. Des effets secondaires connus sont traitées comme si ils étaient de nouvelles maladies et des médicaments supplémentaires sont prescrits pour traiter les effets secondaires au lieu d’essayer de les prévenir.
Plus de deux millions d’Américains sont envoyés à l’hôpital ou gravement blessés par des effets secondaires de chaque année. En fait, avec plus de 100.000 décès chaque année, les réactions indésirables aux médicaments sont une des principales causes de décès aux États-Unis – et bon nombre de ces cas sont évitables !
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« Les effets secondaires des médicaments sur ordonnance sont maintenant votre source la plus probable de décès, d’invalidité ou de blessure. »

prof david Healy
« Les experts estiment que seulement 1 à 10% des événements indésirables graves (ceux provoquant une hospitalisation, une invalidité ou un décès) sont rapportés. »
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«Nous pourrions sans grande difficulté supprimer 95% des dépenses liées aux médicaments, et nous aurions même une population en meilleure santé»   professeur Peter C. Gøtzsche

docteur Robert Mendelsohn
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« L’éditeur du réputé British Medical Journal déclara lui-même que seulement 15 pour cent de toutes les méthodes de la médecine moderne ont une base scientifique ou ont été prouvées »

 professeur david Healy
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 professeur philippe Even
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car cette industrie tue un gigantesque paquet de monde par toutes ses fraudes.. et la pile de cadavres est bien supérieure au camps de la mort, même si cela vous semble impossible »
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« Ils (l’ industrie pharmaceutique) vous vendent des médicaments dangereux pour gagner de l’argent. Rien d’autre. Si vous pensez que l’ industrie pharmaceutique met des médicaments sur le marché pour vous aider – vous vous trompez lourdement! »

« Les médicaments mis sur le marché sont, d’une façon ou d’une autre, de la fausse monnaie. Le médecin qui prescrit ne sait pas forcément ce qu’il fait. La raison? Les décideurs du système de santé se laissent en grand nombre corrompre par les groupes pharmaceutiques ». Pour Marcia Angell, médecin et ancienne membre de la rédaction en chef du New England journal of Medecine, « Il n’est plus possible de croire les recherches publiées, ni de se fier au jugement de son médecin de famille »

«La France détient le record du monde pour les décès dus aux médicaments» Son taux de mortalité lié aux médicaments d’ordonnance est 10 fois plus élevé que dans les pays voisins et un nombre stupéfiant de 20 à 50 fois plus élevé chez les plus de 75 ans.

professeur Peter C. Gøtzsche
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docteur Robert Mendelsohn
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Dr. Rath
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.« L’industrie pharmaceutique a infiltré et corrompu tous les systèmes de santé publique dans le monde à tous les niveaux : médecins, instituts de recherche, publications scientifiques prestigieuses de même que les agences gouvernementales comme la FDA. Très peu de gens tirent avantage des médicaments qu’ils consomment. En fait, les médicaments seraient la troisième cause de décès dans les pays riches…Pour sortir de cette situation intenable, il faudrait rien de moins qu’une révolution : abolition des brevets en pharmacie; interdiction de tout marketing et de toute recherche clinique à l’industrie ; disqualification systématique de tout expert ayant un conflit d’intérêts, qu’il soit financier ou simplement intellectuel. Notre système de santé serait donc menacé non pas par le vieillissement de la population, mais bien par l’explosion de la pharmaceutique. »
professeur Turcotte fernand
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professeur Gotzsche peter
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« Lorsque vous vous rendrez compte de ce qui vous est vendu comme un «remède» vous vous rendrez compte comment vous jouez à la roulette russe avec vôtre vie et celles de vos enfants. » Heller Meria
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« guérir des maladies n’est pas rentable pour les laboratoires »
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Mais « Les différents pays européens ne remontent qu’1 à 10% des cas. » soit environ 4 000 000 morts par an, en Europe par les médicaments (si 5% sont déclarés) ?
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Quand la médecine rend malade
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«Les médicaments utilisés en psychiatrie sont tellement nocifs qu’elles tuent plus d’un demi-million de personnes chaque année parmi les 65 ans et plus aux États-Unis et en Europe. Ce qui rend les drogues psychiatriques comme la troisième cause de mortalité, après les maladies cardiaques et le cancer. Nous pourrions réduire notre consommation actuelle de médicaments psychotropes de 98 % et en même temps améliorer la survie et la santé mentale de la population.»
professeur Gotzsche peter

professeur david Healy
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« la médecine est devenue folle » (ARTE télé)

Escroqueries médicales… et diabète

les autres émissions, reportages, vidéos, sur les médicaments, la médecine et surtout les escroqueries, a ne pas manquer :
médicament l’overdose / débat /  LCP: « la santé des gens, ils n’en n’ont rien a faire »
BIG PHARMA : « Ces criminels ne reculent devant rien, nos vies n’ont aucune valeur »
Pharma – Le Cartel criminel de la «Santé» partie 1 et partie 2




« On m’a appris depuis mon enfance a faire confiance aux médecins, beaucoup de gens disent « il faut faire confiance aux médecins, ils savent ce qu’il font » et APRES, TU APPRENDS QUE CE N’EST PAS VRAI…»

le médecin est la personne qui risque le plus de vous tuer
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Diabète définition

diabète type 1 : une glycémie (taux de sucre dans le sang) supérieure à 1,26 g/l à jeun ou 7 mmols (la valeur normale étant comprise de 0,8 et 1,10 g/l , de 1,10 à 1,25 on parle d’intolérance au glucose)= foutaise puisque le vrai taux est de 1,4 !
diabète type 2 : Autrefois appelé diabète non insulinodépendant (ou diabète de l’âge mûr), ce diabète survient classiquement chez l’adulte de plus de 40 ans présentant, dans 80 % des cas, une obésité ou du moins un excès pondéral.
En 1998, le taux de glucose plasmatique à jeun qui a défini une personne comme diabétique a été abaissé de 140 à 126, ce qui a entraîné la définition médicale de 10,3 millions de personnes de plus comme diabétiques. Le taux de glucose à jeun du prédiabète a été établi à 110 en 1998 et a été ramené à 100 en 2003, ce qui a entraîné une augmentation du nombre de pré-diabétiques.
La vérification du taux de glycémie est une pratique essentielle chez les diabétiques insulinodépendants, c’est-à-dire chez les personnes qui sont nées avec la maladie ou chez qui elle est apparue pendant l’enfance. Toutefois, 80 pour cent des diabétiques sont atteints du diabète de type deux, qui se développe généralement à l’âge adulte et nécessite un contrôle du taux de glycémie par la pratique de l’exercice physique et une modification du régime alimentaire. Certains médicaments peuvent contribuer à prévenir les complications liées au diabète, mais est-ce le cas d’une vérification fréquente du taux de glycémie? La réponse est non, selon l’Agence canadienne des médicaments et des technologies de la santé, qui a publié l’année dernière un rapport indiquant qu’une vérification trop fréquente du taux de glycémie est inutile et peut même être nuisible.
Par exemple, un taux de sucre sanguin à jeun de 130 n’a pas été considéré comme le diabète avant 1997, mais il est maintenant. Et ces chiffres sont en constante évolution dans un sens: le sens de l’étiquetage de plus en plus de gens comme anormale. Le problème est que ces patients nouvellement créées qui bénéficieraient le moins de l’intervention. Pourtant, ils sont confrontés à peu près la même quantité de dommages causés par l’intervention. En d’autres termes, l’effet net de l’intervention peut être mal. Par exemple, comme nous l’avons appris récemment dans le diabète, tout en essayant de déplacer les gens avec des sucres de sang modérément élevées vers «normale», le taux de mortalité a augmenté.
Lors du jeûne, la glycémie baisse, parfois considérablement… Dans ce contexte, pourtant, cette baisse ne s’accompagne pas d’anomalie de fonctionnement du cerveau parce qu’un autre carburant que le glucose prend le relais pour assurer les besoins métaboliques du cerveau au cours du jeûne : les corps cétoniques (acétone, acétoacétate et bêta-hydroxybutyrate), produits par le foie à partir des acides gras des tissus graisseux.) Le temps nécessaire à la mise en jeu de la production de corps cétoniques au cours du jeûne est très variable, moins d’une heure chez le nouveau né, quelques heures chez l’enfant, 24 heures chez l’adulte. Aussi le soleil fait baisser la glycémie… Le jeûne et le soleil ne sont pas brevetables !
L’histoire de la falsification de notre approvisionnement alimentaire une fois propre correspond exactement à la montée de l’épidémie d’hyperinsulinémie que le moment est à l’origine d’un grand nombre, sinon la plupart des maladies dégénératives dont nous souffrons.
Sachez que les politiques médicales publiques sont instituées pour que vous, ou votre proche, ne guérissiez jamais de cette maladie!
Une preuve? La « Fédération Française des Diabétiques », membre de la « Fédération Internationale du Diabète », siégeant à la Direction Générale de la Santé, préconise à ses adhérents diabétiques, de passer d’une alimentation contenant 40 à 45% de carbohydrates à une alimentation dont les carbohydrates constituent 50 à 55 % de la ration !
50 à 55% de sucres dans l’alimentation de ceux pour qui les sucres sont un poison !!
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Anti-cholestérol et diabète sur ordonnances

La prise de statines augmenterait le risque de développer un diabète, selon une nouvelle étude réalisée par un groupe international de scientifiques.
Faut-il prescrire une statine ou un autre médicament anticholestérol aux diabétiques ? Certains répondent oui sans hésitation. D’autres sont un peu plus nuancés : ils disent oui mais seulement après 50 ans, d’autres sont plus agressifs et disent oui mais après 40 ans. Tous sont à peu près d’accord pour dire que les seuls médicaments efficaces pour protéger les diabétiques sont les statines. Ont-ils de solides arguments scientifiques ? La réponse est NON ! Suivez le guide…..
Prescrire une statine dans la perspective de prévenir les complications du diabète pourrait même constituer une erreur médicale puisque certaines statines ont été accusées d’augmenter la résistance à l’insuline et même, de façon très significative, le risque de développer un diabète franc (13). Une question s’impose à l’issue de cette analyse : comment, face à la négativité des données scientifiques, peut-on faire croire à la communauté médicale (et aux patients) exactement le contraire de ce que les faits montrent ?
Effet Diabétogène des statines
Une étude observationnelle finlandaise parue dans Diabetologia relève une hausse du risque de diabète de 46% sous statine en population générale masculine, la plus forte hausse jamais rapportée.
Et force est de constater qu’il a fallu près de 30 ans depuis la commercialisation des statines pour que l’on sache que le médicament provoque le développement du diabète de type 2 en quelques années chez une personne sur 100 .
Dangers et escroqueries
SMT Healy ET STOP
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Bêta-bloquants, antihypertenseurs et diabète sur ordonnances

Les bêta-bloquants, des médicaments pour traiter l’hypertension artérielle peuvent augmenter le risque de développer un diabète de 50 %
vertiges, faiblesse, problèmes de respiration, insomnie, nausées, crampes abdominales, la perte de la libido et la dépression, cholestérol, diabète
L’insuffisance cardiaque est une contre-indication relative à l’utilisation des ß-bloqueurs. augmentation des triglycérides; augmentation du cholestérol et des VLDL (very low density lipoproteins); majoration de l’hypoglycémie chez les diabétiques. risque majoré de développer un diabète de type II chez les hypertendus traités pendant plusieurs années par ß-bloqueurs.
Un des effets secondaires des bêta-bloquant qui est le plus pénible pour les hommes est la dysfonction érectile ou impuissance. Risque accru de développer un diabète de type 2
escroqueries et dangers
Diurétiques, un des médicaments plus couramment prescrits pour le traitement de l’hypertension, provoquent une augmentation de concentration dans le diabète. (British Medical Journal 1994 : 308:855.)
Certains antihypertenseurs, pour contrôler l’hypertension artérielle, comme la nifidipine, qui partage une certaine structure de similarité avec Vacor.

ne jmais faire confiance a un médecin

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Antidépresseurs et diabète sur ordonnances

Les analyses ont montré que le risque de diabète a presque doublé chez les patients qui ont utilisé les deux types de thérapies en même temps, les antidépresseurs tricycliques (TCA) et des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine.
Le recours continu aux antidépresseurs (à chaque consultation semestrielle) multipliait ainsi par 2,34 le risque chez les participants du groupe placebo et par 2,48 dans le groupe de modification du mode de vie.
Dangers potentiellement mortels, drogues et dépendance
La dépendance et les symtômes de sevrage à l’égard des antidépresseurs a été reconnue depuis le début des années 1960
Les antidépresseurs sont inéfficaces
mort par les médicaments en santé mentale
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Neuroleptiques, neuroleptiques cachés et diabète sur ordonnances

Zyprexa – Risperdal – Abilify – Clozari tue les  personnes âgées Les personnes âgées ne sont pas les seuls à risquer la mort. Les professionnels de la santé mentale ont longtemps observé, mais il garde le silence sur le fait que les patients à qui l’on a prescrit les nouveaux antipsychotiques sont en train de mourir à cause de la drogue d’insuffisance cardiaque, accident vasculaire cérébral, et d’autres maladies physiques chroniques invalidantes, telles que le diabète.
Zyprexa liées au diabète, l’hyperglycémie Zyprexa (olanzapine), prescrit pour le traitement de la schizophrénie et la manie bipolaire, a été liée à des effets secondaires graves
neuroleptique : l’histoire 2003 Les neuroleptiques de deuxième génération sont à l’origine d’un risque plus grand d’obésité, d’hyperglycémie, de diabète et de pancréatite.
Neuroleptiques « Nous croyons qu’une pratique plus rationnelle de la psychiatrie éliminerait l’usage d’une médication si dangereuse. »
mépronizine, donormyl, noctran, théralène, vastarel, nozinan, phénergan, tanganil, vogalène, agréal, primpéran…
« Reconnus pour être similaire à des neuroleptiques (anti-psychotiques) ils induisent les mêmes effets secondaires. »

SMT Gotzsche

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Les benzodiazépines, somnifères et le diabète sur ordonnances

les tranquillisants, benzodiazépines et barbiturique sont potentiellement diabètogène D’autres médicaments qui doivent être étudiées comme potentiellement diabétogène comprennent la pénicilline antibiotiques, céphalosporines et l’érythromycine, les tranquillisants de benzodiazépine et les barbituriques; ainsi que l’ocytocine, de l’ergométrine et du paracétamol (un analgésique).
« les médecins portent la responsabilité du crime qui consiste à avoir produit des milliers de toxicomanes » dr H M Shelton

médecins et hopitaux première cause de maladie

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Vaccins et diabète

le vaccin HIB provoque le diabète type 1 Il est étonnant de voir comment la manipulation des statistiques permet d’accorder un laissez-passer aux vaccins. En voici un exemple : une étude affirme qu’il n’y a aucune augmentation du diabète de type 1 statistiquement significative après la vaccination HiB. Une lecture attentive des chiffres documente cependant une histoire complètement différente.
Le vendredi 12 juillet, la société Classen d’Immunothérapies a envoyé un communiqué de presse au sujet d’une nouvelle étude revue par les pairs qui a été publiée dans la dernière édition en libre accès des Scientific Reports (Volume 2, Issue 3, 2013) et qui lie l’épidémie d’autisme à l’épidémie de diabète de type 1 liée aux vaccins.
Vérifier l’existence d’un lien de causalité entre l’administration du vaccin pédiatrique contre la rougeole, les oreillons et la rubéole et des réactions de type autistique ou autres, comme par exemple le diabète sucré. Au lendemain de la plainte des parents de deux mineurs qui ont été diagnostiqués autistes, et dont l’autisme est apparu après le vaccin, le parquet de Trani a ouvert une enquête.
Beaucoup de vaccins peuvent provoquer des états de choc, des convulsions, des diabètes de type 1, de l’asthme et des décès. Il est également possible qu’il y ait des liens entre le vaccin ROR, le diabète juvénile et l’autisme, bien que la chose n’ait pas été démontrée formellement. Les vaccins sont aussi liés au Syndrome de la Guerre du Golfe, etc., etc.
50% des médicaments psyché ont besoin des 2D6 pour métaboliser, xx qui est reconnu comme étant métaboliseurs lents, 2D6 manquantes ne devraient pas être vaccinés

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Autres médicaments qui provoquent le diabète

Le produit le plus régulièrement responsable est la cortisone ou ses dérivés. Qu’elle soit administrée par voie orale, par injections ou par infiltrations la cortisone est à la source de beaucoup de diabètes. Heureusement, le plus souvent, le diabète disparaît lorsque l’effet du médicament s’atténue. Mais quelquefois le diabète est définitif. La pilule contraceptive a été accusée dans certains cas Les médicaments antiépileptiques Les chimiothérapies anticancéreuses Certains diurétiques.
Alloxan et l’antibiotique streptozocine, deux des produits chimiques les plus connus susceptibles d’endommager les cellules bêta pancréatiques, responsables de la production d’insuline. Vacor, un poison de rat, a également signalé causer un diabète insulinodépendant chez les humains qui ont survécu à l’exposition. Il existe une certaine similitude structurelle entre la composition chimique des trois médicaments, et les trois contiennent une structure avec une affinité pour la liaison avec du zinc, ce qui pourrait causer des problèmes avec la production d’insuline (voir l’histoire principale) .Dapsone (utilisé pour traiter la lèpre) et la pentamidine Iséthionate, administré aux patients atteints de sida souffrant de pneumonie. Ces médicaments sont chimiquement similaires aux diurétiques frusemide et chlorthiazide, deux médicaments associés à l’apparition du diabète, qui sont eux-mêmes structurellement similaires aux diurétiques thiazidiques et aux groupes sulfonamide de médicaments (comme une composante de Septrin, voir p10).
La cortisone provoque le diabète (sortir du diabète sans médicament)
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Médicaments pour le diabète

Les inhibiteurs de la dipeptidyl peptidase 4 (DPP-4, alias gliptines) : L’alogliptine (Vipidia, Vipdomet) La linagliptine (Trajenta, Jentadueto) La saxagliptine (Onglyza, Komboglyze) La sitagliptine (Januvia, Xelevia, Janumet, Velmetia) La vildagliptine (Galvus, Eucreas)
La canagliflozine (Invokana) La dapagliflozine (Forxiga) La pioglitazone (Actos)
La revue Prescrire a actualisé, dans son numéro de février 2017
Un diabétique de type 2 sur 37 qui prend ce médicament généralement prescrit aura une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral ou même une AMPUTATION au cours des deux prochaines années
Antidiabétiques : Byetta (Lilly), Victoza (NovoNordisk), 8 Gliptines : Galvus et Eucrers (Novartis), Januvia et Janumet (MSD), Xanuvia et Velmétia (Pierre Fabre), Trajenta et Onglyzia (Boehringer), 2 glitazines : Actos et Compecta (Takeda)
Invokana / canagliflozine : De nombreux médecins de San Diego retirent leurs patients d’Invokana, un médicament antidiabétique largement utilisé, après qu’un grand essai parrainé par l’ industrie a montré qu’il doublait le risque d’amputation des membres inférieurs par rapport à ceux qui prenaient un placebo.
En conséquence de toutes ces études, si quelque soit votre âge, vous êtes diabétiques, ou avez ce que les médecins appellent un sydrome métabolique (avec pré-diabète), et êtes traités avec un des anti-cholestérol existant, allez vite voir votre médecin pour discuter de ce traitement. ces traitements n’apportent rien aux diabétiques, et laissent voir des effets secondaires très inquiétants.
Coup de tonnerre dans le diabète ! Le 11 septembre 2013 la firme française Sanofi retire subitement sa demande d’autorisation aux Etats-Unis de son dernier médicament antidiabétique le lixisenatide, un médicament pourtant autorisé en Europe sous le nom de LYXUMIA.
il apparaît qu’Onglyza expose aussi certaines personnes à des réactions allergiques sévères pouvant entraîner la mort ou à une pancréatite aiguë !
Risque de cancer de la vessie, l’Afssaps met en garde – Afssaps
ce médicament est connu pour provoquer des inflammations du pancréas, des réactions allergiques, des maux de crâne (très fréquents), des vomissements (très fréquents également), mais surtout le cancer de la thyroïde.
qui expose au cancer de vessie sans avantage sur d’autres médicaments du diabète
Les médicaments antidiabétiques de la liste des 59 surveillés par l’Afassaps
la dapagliflozine (Forxiga®), l’empagliflozine (Jardiance®) et la canagliflozine (Invokana®) : les autorités européennes réévaluent les inhibiteurs des SGLT2
Dans un communiqué daté du 12 juin 2015, le Comité pour l’évaluation des risques en matière de pharmacovigilance (PRAC) de l’Agence Européenne du médicament (EMA) annonce qu’elle lance une réévaluation des inhibiteurs des SGLT2, suite à la notification de 101 cas d’acidocétose diabétique survenus chez des patients diabétiques de type 2 traités avec ces médicaments.
Ce retrait fait suite aux recommandations de l’Agence européenne du médicament (EMA) qui a conclu que le rapport bénéfice/risques de la rosiglitazone était défavorable en raison de l’augmentation du risque cardiovasculaire.
Les patients prenant Avandia ont plus de 66 pour cent de crises cardiaques, 39 pour cent de plus les accidents vasculaires cérébraux et de 20 pour cent de plus de décès liés à des problèmes cardiovasculaires
La rosiglitazone a fait l’objet d’une controverse considérable depuis 2007, quand une analyse de 42 études publiées a conclu que le médicament peut accroître considérablement le risque de crises cardiaques et d’autres événements cardiovasculaires
diabete ,AVANDIA® : 83.000 accidents cardiaques aux USA, une agence du médicament en coma dépassé
Avandia augmenterait de 43 % le risque d’être victime d’un infarctus du myocarde
Risque de pancréatite multiplié par 6,8 chez les patients sous sitagliptine et par 11,8 chez les patients sous exenatide. Risque de cancer du pancréas multiplié par 2,4 chez les patients sous sitagliptine et par 2 chez les patients sous exenatide. Risque de cancer de la thyroïde multiplié par 3,4 chez les patients sous sitagliptine et par 7,6 chez les patients sous exenatide.
relative aux bonnes pratiques de prise en charge du diabète de type 2 par les médecins.
Trois études renforcent les vieux soupçons. Arznei-Telegramm demande le retrait du marché.
Le soupçon d’effet cancérigène, de cancérogénicité existait avant même que le médicament soit mis sur le marché.
STATINES ET DIABETE ! NOUVELLE ALERTE : INTENSE « ENFUMAGE » EN COURS
les statines ne protègent pas les diabétiques contre l’infarctus du myocarde et l’accident vasculaire cérébral …
Belviq La fiche d’information du Belviq à destination des patients devrait effrayer suffisamment pour dire, « Sans façon, toubib », lorsqu’il propose de le prescrire. Les avertissements sur la fiche du remède incluent : Syndrome sérotoninergique ou syndrome malin des neuroleptiques : Ce sont des effets mortels provoqués par les drogues psychoactives. La fiche indique, « administré associé à d’autres agents sérotoninergiques ou antidopaminergiques, l’innocuité n’a pas été établie. » Cardiopathie valvulaire : C’est la même affection qui a entraîné le retrait d’un autre médicament pour maigrir, le Fen-Phen. La fiche avertit : « Si des signes ou symptômes se manifestent pensez à arrêter le Belviq et vérifiez si l patient n’a pas éventuellement une valvulopathie. » Troubles cognitifs : La fiche indique, « Peut causer des troubles de l’attention ou de la mémoire. » Elle déconseille ensuite l’usage de machines dangereuses. Troubles psychiatriques : Cela signifie que vous pourriez être qualifié de dépressif, schizophrène ou maniacodépressif, ou d’un tas d’autres qualificatifs psychiatriques parce que vous prenez du Belviq. Imaginez le monde de souffrance dans lequel vous seriez si vous atterrissiez dans un établissement psychiatrique. Pensées suicidaires : Ça ne devrait guère surprendre, puisque les idées de suicide ou carrément se suicider – ou zigouiller autrui – sont l’un des effets indésirables des autres spécialités qui mettent le souk dans la sérotonine. [ndt : Le mélange machines dangereuses et Belviq étant déconseillées, il n’y aura ni suicide, ni massacre à la tronçonneuse. Heureusement !] Usage de remèdes antidiabétiques : Le Belviq n’a pas été étudié chez les gens qui prennent de l’insuline, mais la FDA a homologué ce médicament expressément pour usage chez les diabétiques !
Pourquoi insuffisance cardiaque non plus rigoureusement évaluée dans les essais cliniques de médicaments antidiabétiques? Dans une opinion personnelle, publié dans la revue The Lancet le diabète et l’endocrinologie, le professeur John McMurray de l’Université de Glasgow et ses collègues examinent la preuve que les hospitalisations pour insuffisance cardiaque est l’une des complications les plus courantes et pronostique importants de diabète. En outre, en plus de preuves montrent que certains médicaments hypoglycémiants augmentent le risque d’insuffisance cardiaque. Pourtant, l’insuffisance cardiaque est rarement considéré comme un résultat clé, ou même une partie des résultats cardiovasculaires composites, dans des essais cliniques de médicaments hypoglycémiants.
Le 1er juillet 2014, l’un des grands quotidiens de la médecine conventionnelle aux Etats-Unis, « Medical News Today », a publié un article intitulé « Le traitement à l’insuline contre le diabète de type 2 “pourrait faire plus de mal que de bien”. »
Avant de prendre Byetta, Victoza, Onglyza, ou Januvia veuillez lire la nouvelle recherche qui montre qu’elles, et probablement tous les médicaments incrétines, causent une croissance cellulaire anormale sévèrement dans le pancréas et les tumeurs précancéreuses.
Si vous êtes diabétique et que vous souhaitez obtenir en bonne santé et vivrent plus longtemps, oubliez les pilules. Ils vous tueront plus vite que la maladie. Éviter le complexe médico-industriel
rapport qui montre que le risque de cancer de la vessie augmente d’une manière générale de 22 %, et même de 75 % pour les traitements à dose élevée de pioglitazone, la molécule mise en cause.
La canagliflozine est l’un des trois médicaments de la nouvelle classe de médicaments contre le diabète
Stimulent la sécrétion d’insuline par le pancréas tout au long de la journée
Ils peuvent être prescrits seuls ou en association avec les biguanides …
La plupart des sulfamidés sont des agents anti-microbiens. De structure moléculaire proche de l’acide para-aminobenzoïque

Danger Mortel de la Metformin

Avandia : ils ont menti

Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l’autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français.

Les dangers du Canagliflozine / invokana

danger pour la santé

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Quelques liens : « on peut guérir du diabète »

On peut guérir du diabète de type 2. La preuve? Plusieurs patients y sont parvenus. La recette est simple bien que sa mise en œuvre puisse s’avérer plus compliquée: améliorer sa condition physique, manger différemment, perdre du poids, etc. Tel est le message fort que veut faire passer Grégoire Lagger, collaborateur scientifique au Département de santé et médecine communautaires (Faculté de médecine) dans son dernier livre Guérir du diabète de type 2 (Editions Ovadia, 2014, 330 p.)
Docteur en Naturopathie
L’équipe du Dr Roy Taylor de l’université anglaise de Newcastle a donc proposé au groupe de diabétiques qu’elle a suivi, d’arrêter leur traitement antidiabétique tout en adoptant pendant huit semaines un régime à très basses calories (600-700 par jour).
« Adopter une alimentation très peu calorique pendant un laps de temps limité permet peut-être à l’organisme d’utiliser ces graisses présentes dans le foie, dégageant du même coup celles du pancréas et normalisant le taux de glucose dans le sang »
Le Diabète peut se guérir
Pour se débarrasser du Diabète, il faut : – Arrêter le traitement hypoglycémiant.
– Eliminer tous les aliments raffinés (pain blanc, pâtes, riz blanc, sucre…) et tous les plats préparés industriels.
– Manger des légumes crues dans son alimentation pour au moins1 repas sur les 2 (par exemple une bonne salade, tomates, oignon, persil, ciboulette fraiche de votre jardin, carottes, choux rouges, radis, jeunes pousses d’épinards…).
– Avoir une activité physique régulière….
Des scientifiques de l’université de Newcastle ont mis au point un protocole qui peut inverser le diabète sans médicament. Normand Mousseau l’a suivi. Il raconte sa guérison dans Comment j’ai vaincu le diabète sans médicament.
On peut en effet définir le diabète comme une maladie résultant de la défaillance progressive des cellules bêta du pancréas, chargées de sécréter l’insuline, l’hormone qui contrôle le taux de sucre sanguin. Si les cellules bêta du pancréas peuvent se régénérer, ça veut dire que le diabète n’est plus une maladie qui demande un contrôle à vie mais une maladie qui peut être guérie. Ce résultat va à l’encontre de ce que les médecins ont appris.
Les mécanismes du diabète. Deux types de diabète. La compréhension selon la médecine chinoise. L’approche du diabète est à double détente. Peut-on guérir du diabète ? Les différents sucres. L’index glycémique. Quels aliments choisir ? Les actions générales immédiates pour se prémunir ou guérir le diabète. Perdre du poids. Modifier son alimentation. Bouger. Prendre des compléments alimentaires. L’équilibre acido-basique. Le fléau des pays riches. La paix thérapeutique. Chassons les effets du stress. Attention aux radicaux libres. Nettoyer son organisme. Quelques adjuvants d’aide. Le symbolisme du diabète. Les chemins de guérison.
Le Diabète peut se guérir – Témoignage d’une diabètique grâce à Danièle Starenkyj et son livre« Ma plus grande prise de conscience c’est fait avec un livre qui m’a beaucoup marqué de Danièle Starenkyj: Le mal du sucre, et j’ai alors tout compris. Je savais ce qui me restait à faire, réaprendre à bien m’alimenter, gérer mon stresse, mieux dormir, prendre l’air et faire de l’exercice. En réalité cette maladie (diabète) a été une bénédiction, elle m’a ramènée à une meilleure hygiène de vie en m’a reconnectant avec mon corps et avec la nat
Un régime draconien, très faible en calories, peut éliminer le diabète de type 2 en quatre mois
15 personnes obèses diabétiques ont été observées par les chercheurs. Pendant quatre mois, elles ont suivi un régime de 500 calories par jour. Après l’étude, on a constaté qu’elles s’étaient débarrassées de leur dépendance à l’insuline et avaient également réduit la graisse autour de leur cœur. Cette méthode était plus efficace que des médicaments, mais elle n’est pas pour tout le monde. Il est impératif de consulter son médecin avant.« C’est frappant de voir comment l’intervention relativement simple d’un régime très réduit en calories peut soigner le diabète de type 2. De plus, ces effets perdurent à long terme, illustrant le potentiel de cette méthode. Les changements de comportements au quotidien pourraient avoir des effets plus importants sur le coeur de ces patients que le recours aux médicaments », mentionne le directeur de l’étude, Sebastian Hammer.
Une seule cause est coupable de toutes les maladies selon le Dr Sebi, et c’est le MUCUS. Le mucus est le résultat de notre consommation d’amidon, de lait et de produits toxiques, et peut être principalement éliminé par le jeûne, les fruits, et les légumes et plantes alcalinisants riches en minéraux. On trouve une explication plus approfondie de la méthodologie unique du médecin sur son site web où la médecine occidentale est disséquée
De nouveaux tests cliniques ont fourni les preuves les plus solides, jusqu’à présent, que le diabète de type 2 n’est pas nécessairement une maladie à vie et que cette dernière pourrait bien être « inversée » même chez des patients qui en souffrent depuis de nombreuses années déjà.
Le diabète n’est plus une maladie incurable. La recherche montre qu’il est possible d’en guérir aujourd’hui grâce à l’alimentation. Découvrez les 3 diètes les plus efficaces et les témoignages de patients qui les ont adoptées.
Selon Roy Taylor, «le diabète de type 2 est un état métabolique potentiellement réversible précipité par la seule cause de l’excès chronique de graisse intra-organisme». Les organes qui accumulent les graisses sont le foie et le pancréas. Il est certain « … que le processus de la maladie peut être arrêté avec la restauration du métabolisme normal des hydrates de carbone et des graisses. » J’ai lu l’ article de Taylor publié plus tôt cette année dans Diabetes Care .

Diabète et autres, conférence devant le parlement européen : BIG PHARMA TUE POUR LE PROFIT

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pas besoin des médicaments
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Quelques livres diabète, santé et escroqueries médicales

Le diabète: un crime organisé par [HÉBRAUD, Frédéric]
Le diabète de type 2 n’est pas une maladie incurable. Découvrez le protocole de l’Université de Newcastle et dites adieu en quelques semaines à votre diabète.
Le diabète de type 2, maladie incurable. Vraiment ? Ce n’est pas ce que dit la science ni ce que montre l’expérience vécue par Normand Mousseau.Quand ce physicien reçoit son diagnostic, il s’en remet d’abord à son médecin qui lui conseille de mieux manger, perdre un peu de poids, faire du sport, et lui prescrit des médicaments pour faire baisser sa glycémie.Devant des résultats bien maigres, inquiet du risque élevé de complications (maladies rénales et cardio-vasculaires, troubles oculaires, atteintes nerveuses…), Normand Mousseau part à la recherche d’une alternative crédible, basée sur la science.Il découvre le protocole de l’Université de Newcastle (Royaume-Uni) : un régime de quelques semaines très pauvre en calories qui a guéri de nombreux patients du diabète. C’est ce protocole qu’il choisit de suivre. Aujourd’hui, il n’est plus diabétique.
Sachez que les politiques médicales publiques sont instituées pour que vous, ou votre proche, ne guérissiez jamais de cette maladie!
Une preuve? La « Fédération Française des Diabétiques », membre de la « Fédération Internationale du Diabète », siégeant à la Direction Générale de la Santé, préconise à ses adhérents diabétiques, de passer d’une alimentation contenant 40 à 45% de carbohydrates à une alimentation dont les carbohydrates constituent 50 à 55 % de la ration !
50 à 55% de sucres dans l’alimentation de ceux pour qui les sucres sont un poison !!
C’est une maladie qui ne fait pas mal, que l’on ne sent pas, et pourtant elle est très sérieuse et entraîne souvent des complications sur la durée. Il s’agit d’une maladie chronique, c’est-à-dire qui dure longtemps, et pourtant il est parfois possible d’en guérir. Les professionnels de santé peuvent nous y aider mais ne peuvent pas faire le chemin à notre place… Mais au fait, quel chemin ? Y aurait-il une solution miracle ? Une panacée ? Nous faut-il tout changer ? Remettre en question toute notre vie ? Ou s’agit-il plutôt de petites modifications à opérer dans notre quotidien ? De prendre conscience d’autres manières de voir les choses, de comprendre et de faire différemment? Comme tout chemin de vie, le vôtre est unique, original, c’est à vous seul d’écrire les pages de votre propre histoire. Quelques propositions contenues dans ce livre pourraient vous y aider…
Dr Gabriel COUSSENS
Par exemple, un taux de sucre sanguin à jeun de 130 n’a pas été considéré comme le diabète avant 1997, mais il est maintenant. Et ces chiffres sont en constante évolution dans un sens: le sens de l’étiquetage de plus en plus de gens comme anormale. Le problème est que ces patients nouvellement créées qui bénéficieraient le moins de l’intervention. Pourtant, ils sont confrontés à peu près la même quantité de dommages causés par l’intervention. En d’autres termes, l’effet net de l’intervention peut être mal. Par exemple, comme nous l’avons appris récemment dans le diabète, tout en essayant de déplacer les gens avec des sucres de sang modérément élevées vers «normale», le taux de mortalité a augmenté.
Le diabète est sans doute la maladie où l’alimentation joue le rôle le plus important. Malheureusement pendant des années les conseils nutritionnels aux malades étaient erronés. Si vous êtes diabétique, sachez qu’en suivant les règles diététiques de ce livre, vous pourrez équilibrer sans peine votre glycémie
Dans ce récent ouvrage révolutionnaire, Peter C. Gotzsche lève le voile sur les comportements frauduleux de l’industrie pharmaceutique dans les domaines de la recherche et de la commercialisation et sur son mépris moralement répugnant pour la vie humaine. L’auteur établit des rapprochements convaincants entre l’industrie pharmaceutique et l’industrie du tabac et révèle l’extraordinaire vérité derrière les efforts déployés pour semer la confusion et détourner l’attention du public et des politiciens. Il s’appuie sur des données probantes et traite de manière détaillée de l’extraordinaire défaillance du système causée par le crime généralisé, la corruption et l’inefficacité de la réglementation pharmaceutique – une réglementation qui, selon lui, doit être radicalement transformée. « Si nous prenons autant de médicaments, c’est principalement parce que les compagnies pharmaceutiques ne vendent pas des médicaments, mais des mensonges à leur sujet. C’est ce qui fait que les médicaments sont si différents du reste… Tout ce que nous savons sur leur compte, c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins… Les patients ont confiance dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique… Si vous ne croyez pas que le système est hors de contrôle, je vous invite à m’écrire pour m’expliquer pourquoi les médicaments sont la troisième cause de mortalité… Si une épidémie provoquée par une nouvelle bactérie ou un nouveau virus avait fait autant de victimes – ou si elle avait même causé un centième seulement des décès associés aux effets secondaires des médicaments –, nous aurions tout fait pour la contenir. »
Or, et c’est l’objet essentiel de ce livre, les vrais responsables de toutes ces dérives sont nos mille cliniciens universitaires, dont le bagage scientifique, contrairement à ce qu’ils prétendent, est extraordinairement réduit, spécialement dans les disciplines liées au médicament et à son évaluation, biochimie, pharmacologie et statistiques. La plupart n’ont pas la moindre idée de la réalité. Ils ne lisent, au mieux, que le titre et la brève conclusion des articles scientifiques et croient s’informer à travers les bavardages de couloir ou les présentations-minute des congrès médicaux, sans jamais remonter aux sources ni faire de lecture critique, attentive, calculette en main, des grands journaux anglo-saxons falsifiés par l’industrie et présentés de façon à la servir. Ces universitaires-là constituent une masse inerte, toujours prête à avaler les couleuvres et convaincus que les médicaments les plus récents et les plus chers sont les meilleurs, alors que c’est malheureusement presque toujours l’inverse.Le véritable danger vient de 5 % d’entre eux, baptisés leaders d’opinion clé, achetés et inféodés à l’industrie, à coup de contrats personnels, déclarés ou non, d’enveloppes en liquide, en général à l’étranger, et qui atteignent de 20.000 à 500.000 € par an ou plus, selon l’importance des marchés qu’ils assurent à l’industrie dans leur pays. Ils la servent à toutes les étapes du parcours d’un médicament nouveau. Ils cosignent les yeux fermés les articles rédigés par les firmes, les présentent dans les congrès qu’elles financent, déterminent la position des sociétés savantes qui, financièrement, dépendent à 90 % de l’industrie, et sont toujours choisis, à cause de la notoriété médiatique que leur assurent les firmes, comme experts par les agences d’État, imposant ainsi les autorisations de commercialisation (AMM), empêchant les retraits du marché, assurant le remboursement maximal des médicaments et déterminant les recommandations officielles des agences, de telle sorte qu’en pratique, à travers eux, c’est l’industrie qui tient elle-même la plume des médecins prescripteurs.Ce livre raconte l’histoire des leaders d’opinion clé aux États-Unis ou ailleurs dans le monde et en sélectionne, en France, une trentaine, dans les disciplines représentant les plus grands marchés, cardiologie, cancérologie, rhumatologie et psychiatrie. Pièces en main et nominalement, sont décrites leurs activités au service d’une industrie dont, universitaires et fonctionnaires de l’État, ils sont devenus les employés. »
Corruption systématique: L’essentiel de l’ouvrage de Peter est consacré à la mise en valeur du fait que l’industrie pharmaceutique a systématiquement corrompu la science en amplifiant les bénéfices et en minimisant les méfaits de ses médicaments. En tant qu’épidémiologiste, ses énormes connaissances et sa passion du détail qui en ont fait un leader mondial dans la critique des études cliniques, Peter est ici sur un terrain très solide. Son nom s’ajoute à celui de nombreux autres, y compris d’anciens éditeurs du New England Journal of Medicine qui ont dénoncé cette corruption. Il montre aussi comment l’industrie a acheté des médecins, des universitaires, des revues, des organismes professionnels, des associations de patients, des départements universitaires, des journalistes, des organismes de régulation, et des politiciens. Ce sont les méthodes mêmes de la mafia. Le livre ne permet pas aux médecins ni aux universitaires d’éviter le blâme. En effet, on pourrait faire valoir que les compagnies pharmaceutiques font ce qu’on attend d’elles pour maximaliser les rendements financiers des actionnaires, mais les médecins et les universitaires sont censés avoir une vocation plus élevée. Les lois qui obligent les entreprises à déclarer les sommes qu’elles payent aux médecins montrent que de très nombreux médecins sont redevables à l’industrie du médicament, et que beaucoup reçoivent des sommes d’argent pour conseiller les entreprises ou pour donner des conférences en leur nom. Il est difficile d’échapper à la conclusion que ces « leaders d’opinion » sont achetés. Ce sont les « mercenaires » de l’industrie. Et comme avec la mafia, malheur à quiconque dénonce ou apporte des preuves qui ne sont pas favorables à l’industrie. ….Il n’est donc pas tout à fait fantaisiste de comparer l’industrie du médicament à la mafia
« Or les médicaments sont aussi des substances dangereuses, à manier avec précaution. Il y a bien sûr les scandales récents qui ont secoué la France. L’affaire du Mediator n’est nullement une exception, elle est plutôt la règle : on assiste depuis une vingtaine d’années à une avalanche de scandales pharmaceutiques à travers le monde, pour la plupart bien plus graves que celui du Mediator et impliquant quasiment tous les grands laboratoires mondiaux. Étrangement, ces affaires retentissantes n’ont pratiquement pas eu d’écho en France. Sans doute a-t-on considéré qu’il s’agissait de problèmes qui ne nous concernaient pas, un peu comme le fameux nuage de Tchernobyl. Pourtant, les entreprises impliquées sont des multinationales implantées sur notre territoire comme sur le reste de la planète et leurs médicaments étaient (ou sont encore) commercialisés également en France. À l’ère de la mondialisation, les molécules circulent aussi librement que le pétrole ou les courriels. »On ne peut plus dire qu’il s’agit de cas isolés de corruption , de quelques « méchants » qu’il suffirait de mettre en prison. Les experts, les scientifiques, les médecins, les politiciens, tous ces gens font simplement leur travail – ils sont même, dans leur grande majorité, bienveillants et de bonne foi. Ce que révèlent les scandales, par leur répétition même, c’est justement cela : la banalité du mal pharmaceutique, son caractère systémique, industriel. Il y a quelque chose de pourri au royaume de Médecine , comme il est dit dans Hamlet. Nous le sentons tous obscurément, mais nous hésitons à nous l’avouer. Nous voulons continuer à croire que la médecine est « basée sur des preuves », comme on nous le répète tout le temps, que nos médecins sont vigilants et bien informés, que les agences sanitaires ne permettront plus qu’on nous vende des médicaments inutiles et dangereux. Nous voulons continuer à croire en la médecine, car elle a été porteuse depuis la révolution thérapeutique de la fin du XIXe de tous nos espoirs en une vie longue et sans douleur. Mais cette médecine que nous avons connue n’existe plus. Comme on va le lire dans ce livre, les « preuves » sur lesquelles on se fonde pour nous prescrire des médicaments sont couramment biaisées. Les risques sont cachés par les laboratoires . Les médecins reçoivent leur formation et leurs informations de l’industrie pharmaceutique. Les agences sanitaires approuvent de façon désinvolte des médicaments totalement inefficaces, tout en protégeant le « secret commercial » des données négatives fournies par les firmes. À tous les niveaux, le profit des industries passe AVANT l’intérêt des patients.
« La personne qui a le plus de probabilité de vous tuer n’est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur. »
Les antidépresseurs de la famille du Prozac peuvent-ils provoquer les mêmes effets secondaires que le Mediator sur le coeur et les poumons? […] Un pharmacologue de l’Inserm nous avoue ne pas avoir de données de pharmacovigilance pouvant indiquer des effets secondaires similaires, mais il nous confie que les deux médicaments ont les mêmes mécanismes. Il était donc, selon lui, absurde de prescrire du Mediator à quelqu’un qui prenait du Prozac car les doses ne pouvaient que se cumuler. Le site de la pharmacovigilance européenne révèle que des nouveau-nés dont les mères ont pris du Prozac développent la même maladie que les patients ayant absorbé du Mediator ou de l’Isoméride: l’hypertension artérielle pulmonaire. L’Agence européenne du médicament se contente toutefois de conseiller aux mères de signaler à leur sage-femme qu’elles prennent un ISRS [inhibiteurs sélectifs de la recapture de sérotonine: classe d’antidépresseurs de type Prozac]. L’Agence estime que le Prozac multiplie par deux le risque de malformation cardiaque chez le nouveau-né. Au lieu de déconseiller formellement la molécule aux femmes enceintes, elle leur suggère simplement d’en parler à leur médecin qui décidera de la suite du traitement. L’Agence ajoute: « Le mécanisme est inconnu. »
La médecine moderne est gérée par une oligarchie puissante issue des grands groupes chimico-pharmaceutiques qui parvient à conditionner les choix des gouvernements, des politiques et des institutions de la santé grâce à de prodigieux moyens financier. Des médicaments, des vaccins, des biens de consommation dangereux sont mis sur le marché et y demeurent, malgré les accidents provoqués. Le Dr Louis De Brouwer, par une documentation rigoureuse, n’hésite pas à démontrer l’existence de fraude, d’abus de confiance et d’escroquerie au sein de notre système de santé.
Effets secondaires – LA MORT, Sans corruption pas de médicaments
le livre ecrit par John Virapen devoile la corruption pour mise sur marché de médicaments qui vous tuent « Ils (l’ industrie pharmaceutique) vous vendent des médicaments dangereux pour gagner de l’argent. Rien d’autre. Si vous pensez que l’ industrie pharmaceutique met des médicaments sur le marché pour vous aider – vous vous trompez lourdement! »
de Ivan Illichla médecine est le premier vrai danger pour la santé. la médecine fait plus de malades qu’elle n’en guérit
Les médicaments sont testés par les gens qui les fabriquent, dans des essai cliniques mal conçus menés sur un petit nombre de patients non-représentatifs, et analysés en utilisant des techniques qui sont biaisées, de manière à exagérer les bienfaits des traitements. C’est sans surprise que ces études produisent des résultats qui favorisent le produit testé. Quand les essais cliniques ne donnent pas les résultats escomptés, les données sont cachées des médecins et des patients ce qui laisse une image distordue de la réalité. Ces faits distordus sont communiqués de manière biaisée par des régulateurs et des éditeurs de journaux scientifiques qui sont en conflit d’intérêts, tout comme les associations de patients et les universités. Le résultat est que dans la plupart des cas, nous n’avons aucune idée du traitement qui est le plus efficace. Des études cliniques biaisées Les pharmas font souvent plusieurs séries de tests, mais excluent les séries dont les résultats ne sont pas positifs. Donc, si dix séries de tests ont été effectuées, il se peut que l’étude publiée et soumise aux régulateurs ne présente les résultats que de trois ou quatre d’entre elles. Par exemple, pour le reboxetine, sept séries de tests ont été faites, mais seulement une a été rendue publique et publiée dans un journal académique. Les six autres sont demeurées dans l’ombre, inaccessible, même si leurs résultats ne montraient aucune amélioration face au placebo. Les conséquences négatives des « données manquantes » ne s’arrêtent pas à l’évaluation de l’efficacité ; elles concernent aussi la sécurité des patients. Dans les années 1980, un médicament contre l’arythmie cardiaque, le lorcainide, fut testé auprès d’une centaine d’hommes ayant subi une attaque cardiaque. Le taux de décès fut 9 fois supérieur chez les candidat ayant pris lorcainide que ceux qui ont pris le placebo. L’étude ne fut jamais publiée et les résultats sombrèrent dans l’oubli. Pourtant, à la même époque, les médecins ont commencé à systématiquement prescrire des médicaments anti-arythmie aux gens ayant subi une attaque cardiaque, par mesure de prévention, sans savoir qu’une étude avait démontré que c’était dangereux. Résultat : environ 100.000 personnes sont mortes avant que l’on ne se rende compte que c’était une mauvaise idée. Ces morts auraient pu être évitées si l’étude sur lorcainide avait été publiée. Il y a seulement la moitié des résultats d’essais cliniques qui sont publiés, et celles dont les résultats sont négatifs ont deux fois plus de chances de ne pas être publiées. Conséquemment, les informations disponibles aux médecins font en sorte de constamment surestimer les bienfaits des médicaments. Ainsi, comme les médecins sont maintenu dans l’ignorance, les patients sont exposés à des traitements inférieurs, inefficaces, non-nécessaires, plus dispendieux et/ou plus risqués, voire dangereux.
Mais comment l’Etat en est-il arrivé à jouer ainsi contre les intérêts des patients et la nécessité de réduire les dépenses médicales? Parce que, comme le disent officiellement et dans les mêmes termes l’ONU et les parlements américain et britannique, «l’industrie est une pieuvre infiltrant toutes les instances décisionnelles nationales et internationales, les gouvernements, les grandes administrations, les institutions, les sociétés savantes médicales et les médias». Voilà pourquoi nos commissions d’évaluation tournent en rond, laissant passer des molécules inefficaces et dangereuses alors qu’elles savent que les essais cliniques réalisés par l’industrie sont biaisés, truqués, mensongers, masquant les dangers, amplifiant les effets positifs. …Les médecins se vendent pour un plat de lentilles.
pharmageddon (anglais) : l’hisoire d’une tragedie par le prof david Healy
les antidépresseurs – maintenant les médicaments les plus couramment prescrits pendant la grossesse – alors même que les preuves s’accumulent que ces médicaments provoquent des défauts de naissance, le double du taux de fausses couches, et causer un handicap mental chez les enfants nés de mères qui ont été les prendre. L’espérance de vie aux Etats-Unis, le pays qui consomme le plus de la dernière des médicaments vitaux est en baisse rapide par rapport au reste du monde. Pour les maladies comme la schizophrénie, nous faisons maintenant 10 fois pire en termes d’espérance de vie que nous l’étions il ya 100 ans
Hans Ruesch explique pourquoi autant de nouvelles maladies apparaissent de par le monde à l’heure où la recherche médicale prétend s’investir à fond. Pourquoi le public est-il soumis continuellement à de la désinformation sur la santé ? Il révèle le massacre qui est orchestré sous couvert de l’absorption de produits chimiques qui portent le nom de « médicaments » ! Il expose l’opinion de médecins et de chercheurs réellement conscients des problèmes causés par la vivisection, des exemples d’homicides impunis, mais également un point de vue sur le cancer et sur la fraude des mass médias…
L’auteur prend le risque de dénoncer les pratiques frauduleuses de l’industrie pharmaceutique qui nous cache les effets indésirables de nombreux médicaments. En France, des effets secondaires tels qu’hépatite, infarctus, cancer, méningite, impuissance, avortement sont volontairement occultés !
Alzheimer, parkinson, sclérose en plaques, autisme… Pourquoi le nombre de personnes atteintes d’une maladie neurodégénérative explose-t-il, et pour quelles raisons les malades sont-ils de plus en plus jeunes ? Ce livre révèle que ces maladies se préparent déjà dans le ventre des mères, devenues malgré elles des « mamans neurotoxiques ». Ensuite, tout au long de la vie, nos neurones sont exposés à un cocktail d’agressions capable de diminuer irréversiblement les fonctions de notre cerveau. Ces substances parfaitement identifiées et documentées par les scientifiques, pourraient être bannies de notre environnement si une véritable politique de prévention était menée. Au moment où ce type de maladie a été déclaré “cause nationale” en France, l’enquête événement  de Marie Grosman et Roger Lenglet accuse : malgré les connaissances scientifiques la prévention est gravement négligée. Etudes et investigations rigoureuses à l’appui, les auteurs démontent le mécanisme d’un “effet d’aubaine” ignoble en faveur de l’industrie pharmaceutique et proposent des solutions face à cette crise sanitaire.
En écrivant L’envers de la pilule, J.-Claude St-Onge a ouvert une véritable boîte de Pandore. Tant de choses ne tournent pas rond dans notre système de santé, l’industrie pharmaceutique et nos rapports à la médecine! L’auteur dévoile dans ce nouvel ouvrage le fruit de ses recherches, une mine d’informations fouillées, claires et souvent choquantes. Par exemple :les raisons pour lesquelles tant d’essais cliniques ne sont pas fiables;la démonstration que le fabricant du Vioxx devait savoir que son médicament était dangereux pour le cœur;la portion exagérée du coût des médicaments qui est due au marketing;de nouvelles preuves que les antidépresseurs poussent certains utilisateurs au suicide et qu’ils n’ont pas l’efficacité qu’on leur prête;la démonstration qu’une autre politique du médicament est possible et peut sauver des vies et des milliards de dollars;la façon dont on invente de nouvelles maladies pour nous abonner aux pilules;comment les agences de contrôle jouent à la roulette russe avec nos vies;la constatation que le virus de la grippe aviaire est connu depuis au moins un demi-siècle et qu’il n’a pourtant jamais provoqué la pandémie si redoutée;et une foule d’autres renseignements qui pourraient vous protéger contre les dérives
Il expose comment, avec l’aide des agences de presse et par la vénalité des mass médias, le public a subi un lavage de cerveau le poussant à mettre « soins médicaux » et « santé » sur un même pied d’égalité, alors qu’en réalité il s’agit précisément du contraire : la médecine moderne est devenue à présent la source primordiale des maladies. C’est ainsi qu’en un an, 1,5 million d’Américains ont dû être hospitalisés par suite de l’administration de drogues qui auraient dû les « guérir » d’une chose ou d’une autre. L’expérimentation animale, immanquablement trompeuse, est évidemment l’alibi forgé par la Puissance Médicale pour extorquer de fabuleuses subventions pour une fausse recherche et pour protéger les fabricants de médicaments contre les poursuites en justice chaque fois que les suites néfastes de l’un de leurs produits ne peuvent plus être cachées. Le présent livre fournit les preuves de ce qui est avancé et expose au grand jour des faits que nombre d’individus puissants voudraient voir enterrés à tout jamais
Le Dr Jerome Kassirer propose un regard inquiétant sur les pots-de-vin que des médecins acceptent des géants de l’industrie pharmaceutique et d’autres fournisseurs. II fait valoir que les milliards déversés par l’industrie ont détraqué la boussole morale de plusieurs médecins, et que ces combines ont miné la qualité des soins que nous prodiguent au jour le jour les médecins et les institutions qui avaient toute notre confiance. Bourré de véritables histoires d’horreurs, ce livre met en lumière les manigances financières entre les grosses compagnies qui fabriquent les médicaments et les médecins qui les prescrivent.
Si on pouvait autrefois espérer trouver un jour un traitement pour chaque maladie, nous explique Jörg Blech, les marchands de la santé, aujourd’hui plus que jamais, semblent plutôt vouloir trouver une maladie pour chaque molécule fabriquée.
2 200 000 le nombre d’hospitalisations liées aux effets secondaires des médicaments et à 783 936 décès, soit plus que les morts par maladies cardiaques, 699 687, et celles par le cancer, 553 251. De plus l’équipe pointait 8 900 000 hospitalisations inutiles dont 7 5000 000 actes médiatisés et chirurgicaux, enfin, elle dénonçait 20 millions d’antibiotiques prescrits à tort
« En France, il y a quatre fois plus de décès pa r an liés à la prise d’un médicament que de morts sur la route. Selon la Sécurité routiè re, 3268 personnes sont mortes en 2013 sur les routes françaises. En 2011, le député Roland Mu zeau a déclaré à l’Assemblée nationale, dans le cadre de la mission sur le Mediator : “O n estime dans notre pays à 150 000 le nombre d’hospitalisations annuelles liées à des accidents médicamenteux et de 13 à 18 000 le nombre de morts provoquées par des médicaments”. En 2007, Delphine, ma grande sœur, a été victim e d’un syndrome de Lyell. Les syndromes de Lyell et Stevens-Johnson sont dans 90 % des cas une réaction médicamenteuse. Elle touche 130 à 150 malades en France par an. Un cas sur quatre est mortel*. Peu de jours avant la déclaration de la mala die, Delphine avait pris de l’Ibuprofène pour calmer une simple migraine. Cette molécule co nstitue la base de nombreux médicaments. La plupart sont en vente libre dans les pharmaci es. Commercialisé sous diverses appellations, c’est l’un des médicaments le plus consommés en France. En réalité, il n’existe quasi aucun médicament sans danger. Pourtant, le s victimes d’accidents médicamenteux manquent de reconnaissance et pe inent à prouver l’origine de leur maladie. Motivée par la volonté d’apporter mon soutien à ma sœur, j’ai d’abord écrit ce texte dans un cadre privé, je souhaiterais aujourd’hui que ce témoignage aide à fair e évoluer les mentalités et incite nos législateurs à mieux prot éger les victimes d’effets secondaires. »
MEURTRE PAR INJECTION explique comment l’impitoyable Rockefeller Syndicate – sous le contrôle de la structure financière mondiale, principalement les Rothschild – joue les principaux rôles politiques, sanitaires et éducatifs en Amérique. Le livre décrit les différentes branches de la Rockefeller Syndicate et leurs fonctions: Oil Trust Rockefeller, qui intègre une grande partie du complexe militaro-industriel américain, a le contrôle politique de la nation; Lel Monopoly Medical Rockefeller atteint contrôle des soins de santé de l’Amérique; et la Fondation Rockefeller, un réseau d’affiliés fiscales créations exonérées, contrôle efficacement l’éducation.
Mullins spécifie les noms, beaucoup d’entre eux appartenant à des personnalités publiques connues en Amérique. Les entreprises et leur conseil d’administration sont répertoriés avec toutes leurs connexions.
Bealle utilisé son expérience professionnelle à faire un peu de creuser profondément dans la situation la liberté-of-the-presse et est venu avec deux éclatement expose – « L’histoire des médicaments », et « La Chambre des Rockefeller. » Le fait que, en dépit de sa familiarité avec le monde de l’édition et de nombreux contacts personnels importants, il ne pouvait pas obtenir ses révélations dans la copie jusqu’à ce qu’il fonde sa propre compagnie, The Columbia Publishing House, Washington DC, en 1949, était un excellent exemple de la censure silencieuse mais inflexible en vigueur sur «la terre de la liberté et la patrie des braves ». Bien que l’histoire de drogue est l’un des livres les plus importants sur la santé et la politique jamais à apparaître aux Etats-Unis, il n’a jamais été admis dans une grande librairie, ni examinée par aucun document de mise en place, et a été vendu exclusivement par courrier. Néanmoins, quand nous sommes arrivés à le lire, dans les années 1970, il était déjà dans sa 33e impression, sous une étiquette différente – Biworld Publishers, Orem, Utah….
…Ainsi les journaux continuent d’être nourris avec de la propagande sur les drogues et leur valeur présumée, même si, selon la Food and Drug Administration (FDA) 1,5 million de personnes ont débarqué dans les hôpitaux en 1978 en raison des effets secondaires des médicaments aux États-Unis seul, et malgré les déclarations récurrentes par intelligente et les médecins courageux que les articles les plus pharmaceutiques en vente sont au mieux inutile, mais le plus souvent nuisible ou mortelle dans le long terme….
Cholestérol, mensonges et propagande du docteur michel de Lorgeril
Il livre ici toutes les preuves que la lutte contre le cholestérol est fondée sur des données statistiques biaisées, tronquées, voire manipulées. Lorsque seules les données scientifiques vérifiables sont retenues, il ne reste rien
Malheureusement, la psychiatrie tue
Il n’y a aucun doute que la façon dont nous utilisons actuellement des médicaments utilisés en psychiatrie fait beaucoup plus de mal que de bien. Les médicaments utilisés en psychiatrie sont tellement nocifs qu’elles tuent plus d’un demi-million de personnes chaque année parmi les 65 ans et plus aux États-Unis et en Europe. Ce qui rend les drogues psychiatriques la troisième cause de mortalité, après les maladies cardiaques et le cancer. Nous pourrions réduire notre consommation actuelle de médicaments psychotropes de 98 % et en même temps améliorer la survie et la santé mentale de la population. Il n’y a rien de patients psychiatriques craignent plus de traitement forcé, et il s’agit de des principales raisons pourquoi avoir un contact étroit avec le système de traitement psychiatrique nettement augmente des suicides. Selon une convention des Nations Unies, traitement forcé constitue une violation des droits de l’homme et doit être interdit, et les données empiriques ont montré qu’une psychiatrie sans traitement forcé est possible.
Le véritable danger vient de 5 % d’entre eux, baptisés leaders d’opinion clé, achetés et inféodés à l’industrie, à coup de contrats personnels, déclarés ou non, d’enveloppes en liquide, en général à l’étranger, et qui atteignent de 20.000 à 500.000 € par an ou plus, selon l’importance des marchés qu’ils assurent à l’industrie dans leur pays. Ils la servent à toutes les étapes du parcours d’un médicament nouveau. Ils cosignent les yeux fermés les articles rédigés par les firmes, les présentent dans les congrès qu’elles financent, déterminent la position des sociétés savantes qui, financièrement, dépendent à 90 % de l’industrie, et sont toujours choisis, à cause de la notoriété médiatique que leur assurent les firmes, comme experts par les agences d’État, imposant ainsi les autorisations de commercialisation (AMM), empêchant les retraits du marché, assurant le remboursement maximal des médicaments et déterminant les recommandations officielles des agences, de telle sorte qu’en pratique, à travers eux, c’est l’industrie qui tient elle-même la plume des médecins prescripteurs.
Frank Wittig parle des structures mafieuses au sein de la médecine. Pour expliquer qu’il a noté des secteurs où la médecine, non seulement, n’aide pas, mais rend malade.
La Société cancérigène dénonce, chiffres à l’appui, les silences des discours officiels et les intérêts de bien des lobbies. Car la disparition du cancer serait préjudiciable à des pans entiers de notre économie. Veut-on vraiment faire reculer le cancer ?
…il y aurait finalement plus de gens pour en vivre que pour en mourir. N’y a-t-il aucun lien entre ceux qui produisent le cancer, ou du moins des substances cancérigènes, et ceux qui prétendent non le guérir mais l’affronter ?…
L’idée d’une maladie de civilisation [c’est-à-dire due aux activités industrielles de l’homme et non « naturelle »] était communément admise dans les années 30. Dans les années 50 encore, John Higginson, épidémiologiste du cancer et directeur du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) à l’OMS, estimait que environ 80% à 90% des cancers sont provoqués par des facteurs environnementaux, c’est-à-dire essentiellement liés au cadre de vie ou au travail. En 1960, René Dubos, professeur de biologie moléculaire à l’Institut Rockefeller pour la recherche médicale, écrits que les cancers sont inconnus des « peuples primitifs » « tant que rien ne change dans leur mode de vie ancestral ».
Or, non seulement cette idée ne fait plus autorité aujourd’hui, mais elle se trouve immédiatement récusée et presque démentie, comme si de nouvelles données l’avaient remisée parmi les vieilles lunes. Il n’en est rien. Il semble plutôt que la maladie dite environnementale soit d’autant plus niée que la pression s’accentue et que les populations s’inquiètent davantage d’un environnement toxique. (…) Par ailleurs, le discours scientifique parvient à marginaliser les lanceurs d’alerte et à les faire passer pour des réfractaires au progrès, nostalgiques de la bougie ou du charbon. (…)
remèdes mortels et crime organisé grand forma
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Escroquerie aux taux de glycémie (1,40 à 1,26) pour vendre des médicaments

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